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Odile

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Etude Inserm. BPCO et qualité de vie. Avis aux volontaires.

Étude Inserm « BPCO et qualité de vie ». Avis aux volontaires.

Ecrit par Odile 27 juin 2022

Julie Ancian est sociologue au sein de l’institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Dans le cadre d’un projet européen d’étude sur les inégalités sociales de santé, elle conduit une recherche sur la santé et la qualité de vie des personnes vivant avec une BPCO sévère.

Qui peut participer ?

Cette étude s’adresse à toute personne vivant avec une BPCO sévère, dépendante de l’oxygène et ayant recours à une ventilation non invasive (VNI) OU ayant eu plusieurs épisodes d’exacerbation avec hospitalisation dans les 12 derniers mois.

Quel est l’objet de l’étude ?

Cette recherche porte sur la santé des individus et leur prise en charge médicale. Plus précisément, elle s’intéresse à la qualité de vie des personnes vivant avec une insuffisance respiratoire chronique très sévère liée à la BPCO. Elle s’appuie sur des entretiens pour documenter leur vécu de la maladie, leurs attentes et leurs besoins dans la vie quotidienne, ainsi que leurs relations avec le monde médical. Cette étude pourrait ainsi contribuer à améliorer la prise en charge des personnes malades et à mieux faire connaître la BPCO.

Qui organise cette recherche ?

Cette étude est conduite par l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale) et financée par le Conseil Européen pour la Recherche (ERC).

En quoi consisterait votre participation à cette étude ?

Cette étude repose sur des entretiens menés avec une sociologue (Julie Ancian) d’une durée de 45 à 60 minutes environ. Vous pouvez choisir la date et le lieu de l’entretien, par téléphone ou à votre domicile (si sur Paris), selon votre préférence.

Il vous sera demandé de bien vouloir signer un formulaire de consentement au début de l’entretien.

A noter : cette recherche est totalement indépendante de votre prise en charge médicale et n’affectera pas les soins que vous recevez. Les professionnels de santé qui vous suivent ne seront pas informés de votre décision d’y participer ou pas.

L’entretien portera sur votre santé au quotidien, sur votre expérience de la maladie et vos besoins, ainsi que sur vos rapports avec le monde médical. Vous serez informés des résultats de cette recherche.


Comment faire pour participer ?

Votre participation est volontaire, c’est-à-dire que vous êtes totalement libre d’accepter ou de refuser de participer à cette étude.

Si vous êtes d’accord pour participer à un entretien dans le cadre de cette recherche, vous pouvez dès à présent contacter la chercheuse qui effectuera l’entretien, Julie Ancian, soit :

  • par mail : julie.ancian@inserm.fr
  • ou par SMS ou message vocal au 07 56 87 85 89.

Elle vous recontactera pour convenir d’un rendez-vous selon vos préférences.

Si j’accepte de participer et change d’avis plus tard, puis-je me retirer de l’étude ?

Oui, si vous acceptez, vous êtes libre de changer d’avis et de renoncer à faire l’entretien à tout moment, en informant l’équipe de recherche et sans avoir à justifier votre décision. Si l’entretien a déjà eu lieu, vous pouvez nous informer que vous souhaitez le retirer de notre base de données et les informations recueillies à votre sujet seront alors intégralement supprimées.

Comment seront utilisées mes données personnelles ?

L’entretien sera enregistré pour pouvoir être retranscrit et analysé. Tous les noms de personnes, d’institutions et de lieux seront effacés de la retranscription afin de protéger la confidentialité de vos propos. Cette retranscription ne sera communiquée à personne. Elle ne sera accessible qu’à l’équipe de recherche à des fins d’analyse scientifique.

Comment seront utilisés les résultats de cette étude ?

Les résultats de cette étude pourront faire l’objet de publication sous forme d’un rapport de recherche, d’un ouvrage ou d’articles scientifiques. Vous ne serez pas identifiable dans ces documents.

Si vous avez des questions à propos de cette recherche, vous pouvez les poser au responsables du projet :

  • Nathalie Bajos, sociologue-démographe, directrice de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) : nathalie.bajos@inserm.fr
  • Muriel Darmon, sociologue, directrice de recherche au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) : muriel.darmon@ehess.fr.
  • Pour toute information relative à l’accès aux données, vous pouvez contacter la personne
    déléguée à la protection des données par mail à : dpo@inserm.fr
Télécharger les information sur l’étude
27 juin 2022
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[ Enquête ] Quelles évolutions pour vos traitements inhalés ?

Ecrit par Odile 4 avril 2022

Une précédente enquête du RespiLab menée en 2019* dressait un constat sans appel : 35 % des patients n’adhèrent pas ou peu à leur traitement. Cette enquête révélait également que près de 5 patients sur 10 ne prennent pas correctement leur traitement inhalateur.

Asthme, emphysème, BPCO, les enjeux autour du bon usage des traitements inhalés sont nombreux.

Comment améliorer l’utilisation et l’appropriation de ces dispositifs ? C’est pour répondre à cette question essentielle que nous nous tournons vers vous.

Répondre à l’enquête

Cette enquête vous donne la parole !

L’objectif est de mieux comprendre votre vécu, vos pratiques et vos attentes vis-à-vis de vos traitements inhalés. Il s’agit de définir des pistes d’action pour améliorer l’adhésion aux traitements et leur utilisation optimale afin de mieux contrôler la maladie.

Qui peut répondre ?

Toute personne vivant avec une BPCO (bronchopneumopathie chronique obstructive) et/ou un emphysème et/ou un asthme, et qui utilise un traitement inhalé peut répondre.

L’enquête est ouverte en ligne jusqu’au 3 mai 2022.

Sécurité des données 

Santé respiratoire France respecte les dernières normes de protection des données en vigueur. Vos réponses resteront entièrement anonymes.

Aidez-nous à améliorer la prise en charge de votre maladie respiratoire et votre qualité de vie en partageant votre expérience, votre vécu et votre ressenti.

Par avance merci à tous ! Les résultats de cette nouvelle enquête seront rendus publics sur le site du RespiLab.

N’hésitez pas à relayer cette enquête autour de vous.

Répondre à l’enquête

*Voir l’enquête RespiLab menée en 2019

4 avril 2022
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Pollution: le cri d’alerte des insuffisants respiratoires chroniques

Ecrit par Odile 18 octobre 2021

Au printemps 2021, l’association Santé respiratoire France a lancé sa grande enquête annuelle, à laquelle plus de 600 malades chroniques respiratoires ont répondu. Leurs réponses alertent sur les difficultés vécues au quotidien causées par la mauvaise qualité de l’air, intérieur comme extérieur.

Les chiffres clés de l’enquête « Impact de l’environnement sur la santé respiratoire » 

L’enquête en ligne a été réalisée du 29 avril au 15 juin 2021 et complétée par 604 patients. 85 % d’entre eux déclaraient souffrir de BPCO, 28 % d’asthme, 18 % d’apnées du sommeil et 30 % de diverses pathologies (fibrose pulmonaire, cancer du poumon, dilatation des bronches, allergies respiratoires…). L’enquête, construite à partir d’un focus group de patients insuffisants respiratoires, était supervisée par un comité scientifique.

99 % des répondants préoccupés par la qualité de l’air, intérieur et extérieur

Ils subissent l’environnement extérieur, avec le sentiment de ne pas pouvoir être acteur du changement. Pour 79 %, la qualité de l’air extérieur modifie plus leur état respiratoire que la qualité de l’air intérieur (66 %). Les femmes (83 %), les personnes âgées de 50 à 59 ans (88 %) et de 60 à 69 ans (83 %) semblent plus sensibles que les autres à l’impact de la qualité de l’air extérieur sur leur santé respiratoire.

Un niveau de conscience élevé vis-à-vis des facteurs de risque liés à l’environnement

C’est le cas pour les gaz d’échappement (92 %), les produits chimiques (80 %), les rejets industriels (74 %), les particules ou poussières (74 %), la combustion (73 %), les pesticides (71 %), les pollens (60 %) et les moisissures (59 %). « Seuls 10 % des répondants restent dans le déni ou la méconnaissance quant à l’impact de la qualité de l’air intérieur sur la santé respiratoire », fait remarquer Cécile Grosset, psychosociologue ayant réalisé l’enquête (Smartketing).

La légitimité des associations de patients en matière information

58 % des répondants estiment plutôt difficile de trouver une information fiable sur la thématique « santé et environnement ». 83 % souhaiteraient être informés au quotidien. Globalement, « ils déclarent manquer d’informations fiables et de conseils opérationnels pour agir au mieux », précise Cécile Grosset. Concernant le type d’information recherchée, 61 % citent l’indice de la qualité de l’air de leur environnement proche, 59 % des conseils sur les bonnes pratiques à adopter et 40 % des informations de fond sur le sujet. S’informer passerait par les sites officiels (ministères, etc.) et ceux des sociétés savantes (52 %), par des associations de patients reconnues (44 %) et par des applications smartphone dédiées (35 %).

L’apport des conseillers en environnement intérieur (CEI) encore mal cerné

82 % des répondants pensent pouvoir agir pour modifier la qualité de l’air intérieur de leur logement. En revanche, ils ne sont que 25 % à penser pouvoir agir pour modifier la qualité de l’air extérieur. 72 % privilégient les produits « responsables » : sans pesticides, sans produits chimiques, sans produits dangereux. 53 % évitent les actions qui génèrent de la combustion.

À parts égales, ils s’estiment intéressés (49 %) ou pas intéressés (51 %) par un diagnostic réalisé par un CEI à leur domicile dans le but d’y évaluer la qualité de l’air intérieur. « Plusieurs freins ressortent, énumère Cécile Grosset : l’absence de légitimité dans l’esprit des patients, le sentiment d’adopter déjà les bonnes pratiques. »

De bonnes pratiques…

88 % des patients s’éloignent des voies de circulation denses lors de leurs promenades et 77 % prennent en compte leur environnement dans la pratique de leur activité physique.

93 % aèrent leur logement au moins une fois par jour. Mais seuls 33 % sont préoccupés par la ventilation de leur logement (59 % sont équipés d’une VMC). La tendance globale des Français à utiliser davantage de produits non alimentaires naturels est confirmée : 85 % des patients les privilégient pour l’entretien de la maison.

… mais également des idées reçues

« 71 % pensent que la qualité de l’air est toujours meilleure à la campagne qu’à la ville, illustre l’enquêtrice, ce qui est loin d’être toujours le cas. De plus, 70 % sont convaincus que les plantes d’intérieur réduisent la teneur en polluants dans l’air, alors que rien n’est scientifiquement prouvé. » Si 83 % perçoivent la potentielle dangerosité des désodorisants d’intérieur (encens, bougies parfumées, huiles essentielles), 26 % en utilisent néanmoins de manière occasionnelle et 37 % achètent des produits dits « purifiants ».

Pour 60 % des répondants, le tabac est plus dangereux que la pollution de l’air. C’est en réalité l’inverse, mais sans grande différence cependant : d’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 8,8 millions de morts prématurées dans le monde sont directement liées à la pollution de l’air chaque année, tandis que 7,2 millions de morts sont imputées au tabac (chiffres 2015).

Enfin, 36 % pensent à tort que le risque pour la santé respiratoire n’est présent qu’en cas de pic de pollution.

« Globalement, si les facteurs de risque sont dans l’ensemble plutôt bien identifiés, analyse Cécile Grosset, les patients se sentent impuissants et considèrent que les solutions doivent émaner des pouvoirs publics. »

Hélène Joubert

18 octobre 2021
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[ Enquête ] Exacerbations de BPCO : comment améliorer le suivi ?

Ecrit par Odile 30 août 2021

Une étude européenne

Le groupe Collaboration In COPD ExaceRbatiOns (CICERO) rassemble des chercheurs européens dont l’objectif est d’améliorer la qualité des soins apportés au patient lors des exacerbations de BPCO.

Dans le cadre de ses travaux de recherche, CICERO souhaite recueillir la voix des patients. C’est pourquoi Santé respiratoire France a répondu positivement à l’appel de l’organisation de patients European Lung Foundation (ELF) et de nombreuses associations de patients dans toute l’Europe afin de collaborer à ce projet.

Objectifs de l’enquête 

La finalité de cette enquête est de mieux connaître votre avis et vos opinions sur les différents outils utilisés pour évaluer votre état de santé dans le cadre du suivi de votre BPCO (mesures de la fonction pulmonaire, scanners, tests de marche, questionnaires, etc.).

Avec quels outils vous sentez-vous le plus à l’aise ? Quels sont, selon vous et votre expérience, les plus faciles à utiliser, les plus utiles et adaptés ? Comment l’usage de ces outils pourrait-il être amélioré ?

Vos retours, essentiels pour mieux comprendre votre vécu et vos ressentis, permettront d’affiner la pertinence et le confort des soins prodigués aux patients.

Les objectifs de l’enquête CICERO

Qui peut participer ?

Toute personne concernée par une BPCO, et à tous les stades de la maladie, peut y répondre. Cette enquête est strictement anonyme : aucune donnée ne sera enregistrée, y compris lors des tests de questionnaires qui vous seront proposés. Le questionnaire peut paraître un peu long, mais nous vous encourageons à y répondre en totalité.

Un grand merci à tous pour votre participation. N’hésitez pas à partager autour de vous !

Ici le lien pour participer
30 août 2021
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[Enquête clôturée] Santé respiratoire et accès aux soins : comment le vivez-vous depuis la fin du premier confinement ?

Ecrit par Odile 25 juin 2021

Dans le contexte de la pandémie de la Covid-19, le RespiLab souhaite suivre et mieux connaître dans le temps les difficultés que vous rencontrez au quotidien et dans votre parcours de soins. Cette nouvelle et courte enquête a pour objectif de mieux comprendre votre vécu et vos besoins prioritaires depuis la fin du premier confinement (mi-mai 2020).

Ce questionnaire s’adresse à toute personne vivant avec une maladie respiratoire chronique (BPCO, asthme, fibrose pulmonaire, dilatation des bronches, cancer etc.). Il est anonyme et ne vous prendra que quelques minutes.

Merci à tous pour vos contributions.
Nous partagerons les résultats sur notre site internet.

L’équipe du RespiLab

Répondre à l’enquête
25 juin 2021
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[Enquête clôturée] Pollution et santé respiratoire, comment le vivez-vous ?

Ecrit par Odile 28 avril 2021

Les enjeux liés à la qualité de l’air que nous respirons – intérieur comme extérieur – relèvent d’un besoin vital pour tout individu, et tout particulièrement chez les personnes vivant avec une maladie chronique respiratoire.

Santé respiratoire France s’empare de cette problématique majeure de santé publique. Légitimes vis-à-vis de cette thématique, nous entendons peser dans le débat afin de relayer et défendre les besoins et les attentes des malades respiratoires.

Cette enquête vous donne la parole !

Le RespiLab, le laboratoire d’idées et d’innovation de Santé respiratoire France, lance une nouvelle enquête afin de mieux comprendre votre perception et vos pratiques vis-à-vis de la qualité de l’air. Nous souhaitons ainsi rendre compte de vos besoins et de vos attentes au quotidien pour agir plutôt que subir votre environnement.

Qui peut répondre ?

Toute personne vivant avec une maladie respiratoire chronique.

Moins d’une dizaine de minutes suffisent pour remplir le questionnaire.

L’enquête sera en ligne jusqu’au 30 mai 2021.

Sécurité des données 

Cette enquête répond aux dernières normes de protection des données en vigueur et vos réponses resteront entièrement anonymes.

Merci à tous pour votre contribution !

N’hésitez pas à relayer cette enquête autour de vous.

Cette enquête est désormais clôturée, merci à tous pour vos participations.

Nous vous tiendrons informés de ses résultats via le RespiLab.

Répondre à l’enquête
28 avril 2021
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Outils numériques, qu’en pensent les malades BPCO ?

Ecrit par Odile 22 mars 2021

Téléconsultation, applications pour smartphone… Qu’en pensent les malades atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) ? Y voient-ils une opportunité ou une menace ? Santé respiratoire France les a sondés. 

Gestion numérisée des dossiers de patients, consultation à distance, usage d’applications et d’objets connectés… Le domaine de la santé est en pleine évolution grâce au numérique. Le terme d’e-santé ou de santé numérique s’est imposé alors même qu’il recouvre une grande diversité de pratiques, et encore plus d’acteurs et de situations.

En cette période de crise sanitaire liée à la Covid-19, une précédente enquête du Respilab –  espace de co-création de savoirs et de solutions innovantes – de Santé respiratoire France avait constaté qu’un quart des malades respiratoires chroniques avait expérimenté la téléconsultation lors du premier confinement, au cours du printemps 2020. Pour aller plus loin, le Respilab a souhaité connaître l’opinion des personnes souffrant de BPCO vis-à-vis de la téléconsultation mais également des applications santé, et plus spécifiquement celles dédiées à la BPCO.

Pour 87 % des personnes avec une BPCO, la téléconsultation se développera

Au moment de l’enquête, en décembre 2020, 42 % des patients interrogés avaient effectué au moins un rendez-vous en téléconsultation (22 % en visioconférence uniquement ; 17 % par téléphone exclusivement). 55 % ont renouvelé l’expérience. Ce sont surtout les personnes BPCO qui ont pratiqué la téléconsultation en visioconférence uniquement (63 %) qui en ont effectué plusieurs. 56 % ont téléconsulté avec leur médecin généraliste, 32 % avec leur pneumologue et 21 % avec d’autres professionnels de santé déjà connus du patient (kinésithérapeute, dermatologue, infirmier, etc.). Seuls 15 % ont téléconsulté avec un professionnel de santé qu’ils ne connaissaient pas.

87 % pensent que la téléconsultation continuera à se développer, et 57 % ont l’intention d’y recourir dans les six mois. Quelques bémols cependant : 41 % estimaient la prise de rendez-vous difficile ou ne savaient pas comment procéder, et 54 % ignoraient la durée d’une téléconsultation.

Une minorité (16 %) imaginait qu’il existe une différence de tarif entre la téléconsultation et la consultation en présentiel, et ils étaient à peine plus nombreux (18 %) à être réellement réfractaires à la téléconsultation.

Gain de temps mais crainte de perdre le lien social

Parmi les avantages de la téléconsultation les plus cités figurent l’absence de déplacement, le gain de temps, l’accès à un professionnel de santé où que l’on se trouve, la disponibilité et l’écoute de ce dernier, le confort de rester dans un environnement familier (ce qui favorise le dialogue avec le praticien) ou encore le stockage dans un coffre-fort numérique des ordonnances et des résultats d’analyses.

Du côté des inconvénients, par ordre décroissant, on retrouve l’impossibilité de réaliser certains examens (mesure du souffle…), l’absence d’auscultation, la perte du lien social, la nécessité de disposer d’une solution technique qui assure un flux vidéo de qualité (wifi, haut débit…) ainsi que d’un équipement informatique et enfin le télépaiement, qui rebute certains.

L’analyse de la question ouverte « En quoi la téléconsultation va-t-elle modifier le rapport entre les professionnels de santé et leurs patients ? » a mis en évidence deux visions opposées de ses impacts : d’un côté des patients qui ont une vision globale et positive tournée vers les systèmes de santé et, de l’autre (les plus nombreux), ceux dont la vision est autocentrée et qui appréhendent une fracture sociale.

Un plébiscite en faveur d’une application dédiée à la BPCO

86 % des personnes BPCO ont déclaré posséder un smartphone. Par comparaison, le taux d’équipement en France en 2019 était de 77 %.

Un chiffre particulièrement élevé retient l’attention : 93 % des patients équipés d’un smartphone utilisent des applications et 54 % ont déjà téléchargé une application santé. L’application « comptage de pas » notamment est utilisée par 55 % des patients équipés d’un smartphone (cette fonctionnalité est déjà intégrée dans certains appareils).

Une application dédiée à la BPCO intéresserait 82 % des patients qui souffrent de cette maladie respiratoire chronique. Plus précisément, 88 % seraient intéressés par la possibilité d’enregistrer leur niveau d’essoufflement, 83 % aimeraient retrouver la possibilité de mesurer la saturation en oxygène, 83 % souhaiteraient visionner via cette application des vidéos d’exercice physique et 86 % y trouver des conseils de santé.

« Mesurer » et « alerter » seraient les intérêts majeurs de cette application selon les intéressés, avec respectivement 53 % et 26 % des voix.

L’analyse typologique a permis de distinguer trois groupes d’usagers : les contemporains, qui intègrent naturellement les outils numériques dans leur vie (69 %), les sceptiques, qui utilisent le numérique par obligation (17 %) et les indifférents, qui n’éprouvent aucun intérêt pour le numérique (14 %).

Merci à tous les patients BCPO qui ont accepté de participer à ce sondage, lequel a permis de recueillir les avis et les besoins vis-à-vis des outils numériques dans le cadre de la maladie BPCO.

* Etude « Pratique des patients BPCO face aux outils numériques ». Sondage en ligne réalisé auprès de 449 patients (décembre 2020) par Cécile Grosset (Agence Smartketing) pour le RespiLab. Avec le soutien des laboratoires Boehringer Ingelheim.

22 mars 2021
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Santé respiratoire et environnement : venez nous en parler !

Ecrit par Odile 12 mars 2021

Les enjeux liés à notre environnement et à la qualité de l’air que nous respirons, intérieur comme extérieur, relèvent d’un besoin quotidien vital pour tout individu, et tout particulièrement chez les personnes vivant avec une maladie chronique respiratoire.

Santé respiratoire France s’empare de cette problématique de santé publique afin de la porter dans les débats et défendre les besoins et les attentes des malades respiratoires.

Nous lancerons au mois de mars une grande enquête nationale auprès des patients. Vous serez tous invités à y répondre.

Au préalable, afin de construire cette enquête, nous vous proposons de participer à une réunion d’échanges et de discussion pour mieux identifier les enjeux liés à la qualité de l’air dans votre quotidien. Cette réunion se tiendra le mardi 23 mars de 18 heures à 20 heures, en visio-conférence.

Votre parole en tant que patient doit être entendue. Venez nous faire part de vos besoins et de votre réflexion sur le sujet. Nous vous en remercions, les malades respiratoires chroniques également.

Pour vous inscrire, merci de compléter ce formulaire (nombre de place limité)

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12 mars 2021
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RespiLab_Podologie_BPCO_Enquete

[Enquête clôturée] Santé respiratoire et podologie : quel est votre avis ?

Ecrit par Odile 10 mars 2021

Philippe Saillant est podologue. Dans le cadre de son doctorat, son équipe et lui effectuent des travaux de recherche dans l’objectif de connaître et de mieux comprendre les aspects podologiques lors des activités physiques et au quotidien chez les personnes souffrant d’une maladie respiratoire chronique.

Les résultats de cette étude contribueront à améliorer les connaissances et par conséquent la qualité des soins apportés aux patients.

Ce questionnaire est anonyme. Il répond aux réglementations de protection des données en vigueur (avis du Groupe Nantais d’Ethique dans le Domaine de la Santé – GNEDS – du 16/12/2020).

Toute personne âgée de 40 ans et plus, vivant avec une maladie respiratoire chronique est invitée à répondre. Cela ne vous prendra que quelques minutes (10 à 12 minutes environ).

Cette enquête sera en ligne quelques semaines seulement. Par avance, merci à tous pour votre précieuse collaboration à ce travail de recherche.

Répondre à l’enquête

10 mars 2021
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[Enquête clôturée ] Télémédecine, applications mobiles… votre avis ?

Ecrit par Odile 23 novembre 2020

Télémédecine, applications mobiles… Les outils numériques se font une place dans la prise en charge des maladies respiratoires chroniques. La pandémie de Covid-19 et le confinement ont accéléré le recours à ces technologies et fait prendre conscience de leur utilité dans le soin et dans la surveillance de l’état de santé des patients.

Et vous, quel est votre avis ?

Cette enquête a un double objectif : mieux connaître vos usages mais également vos besoins et attentes vis-à-vis de ces outils numériques.

Vos réponses sont précieuses, afin de connaître vos pratiques et faire émerger des solutions concrètes pour améliorer votre quotidien.

Toute personne diagnostiquée BPCO et/ou emphysème, adhérente ou non de l’association Santé respiratoire France, peut y répondre.

Ce questionnaire sera en ligne jusqu’au 21 décembre 2020. Y répondre vous prendra moins de 10 minutes.

Cette enquête est totalement anonyme. Nous vous le garantissons selon les dernières règles en vigueur exigées. Vous pouvez donc y répondre en toute franchise et sécurité.

Gage de qualité, un comité scientifique constitué de pneumologues et patients supervisera l’analyse questionnaires. Nous vous tiendrons informés des résultats, lesquels seront ensuite partagés sur le site du RespiLab (prévu début 2021).

Merci à tous, parlez-en autour de vous !

Je réponds au questionnaire
Vous êtes professionnel de santé ? N'hésitez pas à relayer cette enquête en partageant cette page ou en imprimant cette information.

23 novembre 2020
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